[…]A travers ces oeuvres, on assiste au désir opiniâtre de capturer un monde – nature ou ville, toujours mélancolique-qui se dérobe et fuit. Josseline Erner livre son étonnement permanent. Et c’est cette surprise qu’elle peint, avec, tout à la fois, vigueur et charme jusqu’à faire de cette surprise notre propre moyen de redécouvrir le monde. […]